Auteur

Communiqué de Presse

MONTRÉAL, le 31 janv. 2019 /CNW Telbec/ - Produits forestiers Résolu Inc. (NYSE: RFP) (TSX: RFP) a annoncé aujourd'hui qu'elle avait réalisé un bénéfice net de 235 M$ pour l'année 2018, contrairement à une perte nette de 84 M$ en 2017. Les ventes ont atteint 3,8 G$, en hausse de 7 % par rapport à l'exercice précédent.

Avant les éléments hors gestion courante, la Société a enregistré un bénéfice net de 183 M$, contre 12 M$, en 2017. Pour le quatrième trimestre de 2018, qui s'est terminé le 31 décembre, l'entreprise a généré un bénéfice net de 36 M$, contre 13 M$, soit 0,14 $ pour la période correspondante de 2017. Les ventes du trimestre ont atteint 932 M$, en hausse de 34 M$ par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent. Avant les éléments hors gestion courante, la Société a enregistré un bénéfice net de 4 M$, contre 14 M$, pour le quatrième trimestre de 2017.

« Notre base d'actifs optimisée nous a permis de tirer parti de la dynamique favorable des marchés pour réaliser une excellente performance annuelle, malgré les obstacles liés aux coûts et la faiblesse du marché du bois d'œuvre au quatrième trimestre. Nous avons été confrontés à des prix du bois d'œuvre en chute libre au cours du trimestre, à des perturbations opérationnelles inattendues, à la maintenance planifiée et à l'augmentation des coûts de l'énergie et du bois. Malgré ces défis, nous avons généré des entrées de trésorerie liées aux activités d'exploitation de 435 M$ en 2018, monétisé les actifs de Catawba et de Fairmont à des valeurs attrayantes, remboursé un montant en capital de 136 M$ aux actionnaires au moyen d'un dividende exceptionnel et réduit notre endettement peu après la clôture de l'exercice. La vigueur de notre bilan améliore notre solidité financière et notre marge de manœuvre, en plus de nous placer en bonne position en vue d'une croissance future », a déclaré Yves Laflamme, président et chef de la direction.

La définition des mesures financières non conformes aux PCGR, notamment les ajustements liés aux éléments hors gestion courante et le BAIIA ajusté, ainsi que leur rapprochement avec les mesures financières conformes aux PCGR sont présentés ci-dessous.

Variation du résultat d'exploitation par rapport à celui de la période précédente

Résultats consolidés

La Société a enregistré un bénéfice d'exploitation de 75 M$ pour le trimestre, contre 135 M$ pour le troisième trimestre de 2018. Dans l'ensemble, les prix ont eu une incidence défavorable de 33 M$ en raison de la baisse de 110 $ par millier de pieds mesure de planche (pmp) du prix de vente moyen du secteur Produits du bois, ce qui a plus qu'annulé l'augmentation des prix de la pâte commerciale et du papier. Les coûts de fabrication ont également augmenté de 45 M$ au cours du trimestre, essentiellement du fait des perturbations de production, de la maintenance planifiée, de la hausse saisonnière des coûts de l'énergie et de la hausse des coûts du bois attribuable au temps extrêmement humide, surtout dans le sud-est des États-Unis.

Au quatrième trimestre, la Société a comptabilisé une perte de valeur hors trésorerie de 120 M$ sur l'écart d'acquisition et des actifs à long terme comptabilisés initialement lors de l'acquisition d'Atlas Paper Holdings Inc. en 2015, afin de ramener la valeur comptable de ces actifs à leur juste valeur estimative. Nous avons également comptabilisé un gain de 141 M$ résultant de la cession d'actifs pour le trimestre à la suite de la vente des installations de Fairmont (Virginie-Occidentale) et de Catawba (Caroline du Sud).

La Société a enregistré un bénéfice d'exploitation de 379 M$ pour 2018, contre 42 M$ pour 2017, ce qui s'explique essentiellement par la hausse des prix de vente moyens dans tous les secteurs d'activité. Le prix de vente moyen a augmenté de 19 % pour le secteur Pâte commerciale, de 17 % pour le secteur Papier journal, de 13 % pour le secteur Produits du bois et de 9 % pour le secteur Papiers pour usages spéciaux. Des gains à la cession d'actifs de 145 M$, contre un gain de 15 M$ en 2017 qui résulte surtout de la cession des actifs de l'usine de papier de Mokpo (Corée du Sud), ont également eu une incidence favorable sur les résultats d'exploitation.

Les coûts de fabrication ont augmenté de 152 M$ pour l'exercice, en grande partie du fait de l'accroissement des coûts de l'énergie, des coûts de la fibre liés au marché et des coûts des produits chimiques, et aussi en raison des activités de maintenance additionnelles, alors que les coûts de transport ont augmenté de 59 M$, soit 13 %, en raison de l'augmentation des tarifs et des distances parcourues. La diminution du volume des ventes, qui reflète la faiblesse des marchés du bois d'œuvre (23 M$), la fluctuation du dollar canadien (19 M$) et la hausse des pertes de valeur et frais de fermeture (14 M$) ont également nui aux résultats de la Société.

Pâte commerciale

Le secteur Pâte commerciale a enregistré un bénéfice d'exploitation de 41 M$, soit 16 M$ de moins que celui du trimestre précédent. Le prix de vente moyen a poursuivi sa hausse dans la majorité des catégories, affichant une nouvelle augmentation de 25 $ par tonne métrique et atteignant 809 $ pour le trimestre. Les volumes expédiés ont diminué de 25 000 tonnes métriques, essentiellement du fait des interruptions de production pour maintenance planifiée, des perturbations opérationnelles et de la baisse de la capacité de production de pâte recyclée attribuable à la vente de l'installation de Fairmont. Le coût d'exploitation unitaire (le « coût livré ») a augmenté de 59 $ pour s'établir à 688 $ par tonne métrique en raison des interruptions de production et des pénuries de bois liées aux conditions météorologiques dans le sud-est des États-Unis, de même que de la hausse des coûts de l'énergie. En conséquence, le BAIIA du secteur pour le trimestre a diminué en s'établissant à 46 M$, soit 136 $ par tonne métrique.

Pour l'exercice 2018, le secteur a enregistré un bénéfice d'exploitation de 172 M$, soit 93 M$ de plus que celui de l'exercice précédent. Le prix de vente moyen a augmenté de 123 $ par tonne métrique, tandis que les volumes expédiés sont demeurés relativement stables, malgré une longue interruption, liée à un investissement, qui est survenue à l'usine de Saint-Félicien (Québec) en 2018. Quant au coût livré, il a augmenté de 57 $ par tonne métrique, essentiellement du fait de la hausse des coûts de l'énergie et des prix du papier récupéré, des activités de maintenance additionnelles et de l'accroissement des tarifs de transport, facteurs neutralisés en partie par la diminution des coûts de la fibre. L'augmentation des prix de vente a plus que compensé la hausse des coûts, donnant lieu à une amélioration de 81 % du BAIIA, qui s'est établi à 199 M$, soit 140 $ par tonne métrique, alors qu'il s'était fixé à 77 $ par tonne métrique pour 2017.

Papiers tissus

Le secteur Papiers tissus a enregistré une perte d'exploitation de 9 M$ pour le trimestre, ce qui est relativement inchangé en regard de la période précédente, alors que le BAIIA s'établit encore une fois à un montant négatif de 5 M$.

Pour l'exercice, le secteur a enregistré une perte d'exploitation de 30 M$ comparativement à une perte de 6 M$ en 2017, ce qui s'explique par le fait que les résultats de l'usine de Calhoun (Tennessee) ne sont pris en compte par le secteur que depuis le 1er avril 2018. Même si les volumes des ventes totaux ont augmenté en regard de l'exercice précédent, le coût livré est demeuré élevé, puisque la Société continue d'intensifier le rythme de production de la machine à papier tissu et des chaînes de transformation à Calhoun. Le BAIIA sectoriel s'est établi à un montant négatif de 15 M$.

Produits du bois

Le secteur Produits du bois a enregistré une perte d'exploitation de 8 M$ pour le trimestre, contrairement à un bénéfice d'exploitation de 45 M$ enregistré pour le troisième trimestre, ce qui s'explique presque entièrement par la faiblesse des prix. Le prix de vente moyen a été ramené à 347 $ par millier de pmp pour le trimestre, ce qui représente une baisse de 24 %, soit 110 $. Le coût livré s'est accru de 11 $ pour passer à 366 $ par millier de pmp, reflétant l'augmentation des coûts de maintenance et des coûts des billes. Malgré la baisse de production attribuable aux conditions du marché et aux conditions météorologiques qui est survenue dans le trimestre, les volumes expédiés ont augmenté de 7 millions de pmp. Le BAIIA sectoriel a été ramené à 1 M$, ayant été de 53 M$ pour le trimestre précédent, et les stocks de produits finis sont demeurés élevés, s'établissant à 157 millions de pmp.

Pour l'exercice, le secteur a enregistré un bénéfice d'exploitation de 169 M$, soit 17 M$ de moins que celui de 2017. Le coût livré a augmenté de 50 $ pour s'établir à 354 $ par millier de pmp, en raison de l'accroissement des coûts de la fibre sur le marché et de la hausse des frais de transport. Les volumes expédiés ont également diminué de 165 millions de pmp, essentiellement du fait de la baisse des volumes de production et de la détérioration des marchés vers la fin de l'exercice. Ces éléments défavorables ont été neutralisés en partie par la hausse du prix de vente moyen, qui a augmenté de 50 $ par millier de pmp pour l'exercice, s'établissant à 446 $. Le BAIIA sectoriel a été ramené à 201 M$, soit 109 $ par millier de pmp, ayant été de 219 M$ pour l'exercice 2017, reflétant des marges du BAIIA respectives de 24 % et de 27 %.

Papier journal

Le secteur Papier journal a enregistré un bénéfice d'exploitation de 28 M$ pour le quatrième trimestre, soit une baisse de 4 M$ par rapport à celui du trimestre précédent. Les ventes ont augmenté de 6 % en raison d'une hausse de 5 $ par tonne métrique du prix de vente moyen, qui s'est établi à 634 $, et d'une augmentation de 17 000 tonnes métriques des volumes expédiés attribuable au calendrier des ventes à l'exportation et au caractère saisonnier des activités. L'augmentation des ventes a été plus que contrebalancée par la hausse de 19 $ par tonne métrique du coût livré, en grande partie attribuable à l'apport moindre de la centrale de cogénération de Thunder Bay(Ontario) par suite d'une panne de turbine. Le BAIIA a diminué de 3 M$ pour s'établir à 45 M$ pour le trimestre, ce qui correspond à 116 $ par tonne métrique.

Pour l'exercice 2018, le secteur Papier journal a enregistré un bénéfice d'exploitation de 74 M$, contre une perte d'exploitation de 23 M$ pour 2017. L'amélioration reflète la hausse du prix de vente moyen, qui a augmenté de 88 $ par tonne métrique pour s'établir à 602 $, neutralisée en partie par l'augmentation des coûts. L'augmentation des dépenses liées à la maintenance, à l'énergie et au transport a été supérieure à la baisse des coûts de la fibre, ce qui s'est traduit par une hausse de 24 $ par tonne métrique du coût livré, qui s'est établi à 552 $. Les hausses de prix ont largement annulé l'augmentation des coûts et la baisse des volumes découlant des fermetures de capacité survenues en 2017, donnant lieu à un BAIIA de 140 M$, soit 93 $ par tonne métrique, en hausse de 43 M$ par rapport à 2017. La marge du BAIIA de 2018 a augmenté par rapport à celle de 2017, en passant de 5 % à 15 %.

Papiers pour usages spéciaux

Le secteur Papiers pour usages spéciaux a enregistré un bénéfice d'exploitation de 18 M$ pour le trimestre, contre 26 M$ pour le trimestre précédent. Les prix ont augmenté de 19 $ par tonne courte pour s'établir à 756 $, et les volumes expédiés ont totalisé 287 000 tonnes courtes, ce qui est relativement stable, l'augmentation saisonnière de la demande de papiers surcalandrés ayant été essentiellement annulée par la baisse des volumes des autres catégories par suite du repli de la productivité. Les perturbations opérationnelles, conjuguées à une baisse de l'apport de la centrale de cogénération de Dolbeau (Québec) pendant son interruption de production planifiée, à la hausse des coûts du bois dans le sud-est des États-Unis et à la progression des coûts de l'énergie, ont entraîné une augmentation de 50 $ du coût livré, qui a atteint 697 $ par tonne courte. Le BAIIA a été ramené à 28 M$, soit 95 $ par tonne courte, par rapport au BAIIA de 38 M$ du trimestre précédent. Les stocks de produits finis avaient diminué de 24 000 tonnes courtes à la clôture de l'exercice, en partie du fait de la vente de l'installation de Catawba.

Pour l'exercice, le secteur a enregistré un bénéfice d'exploitation de 40 M$, contre une perte d'exploitation de 9 M$ en 2017. En 2018, les résultats d'exploitation ont bénéficié d'une hausse des prix de 61 $ par tonne courte et d'une diminution des coûts de la fibre, ces facteurs ayant plus qu'annulé l'augmentation des tarifs de transport qui a entraîné une hausse de 18 $ par tonne courte du coût livré. Malgré la baisse de 213 000 tonnes courtes des volumes expédiés attribuable aux fermetures de capacité survenues à Catawba et à Calhoun en 2017, le BAIIA de 2018 a augmenté de 51 M$ pour s'établir à 87 M$.

Variation du résultat d'exploitation consolidé du trimestre par rapport à celui de la période correspondante de l'exercice précédent

Le bénéfice d'exploitation de la Société a augmenté de 22 M$ par rapport à celui du quatrième trimestre de 2017. Dans l'ensemble, les prix ont ajouté 72 M$ à nos résultats, le prix de vente moyen ayant augmenté de 21 % pour le secteur Papier journal, de 19 % pour le secteur Pâte commerciale et de 15 % pour le secteur Papiers pour usages spéciaux, ce qui a contrebalancé la baisse de 21 % des prix du bois d'œuvre. L'amélioration du bénéfice d'exploitation reflète également l'incidence favorable de 11 M$ de la faiblesse du dollar canadien et la hausse de 128 M$ du gain à la cession d'actifs, essentiellement en raison du gain de 141 M$ comptabilisé pour le quatrième trimestre de 2018 à la suite de la vente des installations de Fairmont et de Catawba.

Ces éléments favorables ont été neutralisés en grande partie par une perte de valeur de 120 M$ comptabilisée pour le trimestre et par une hausse de 57 M$ des coûts de fabrication, essentiellement attribuable à l'augmentation des coûts de l'énergie et de la maintenance, de même que par la hausse des coûts de la fibre et des produits chimiques due aux conditions du marché. Les résultats se sont également ressentis d'une baisse de 16 M$ du volume des ventes, surtout en raison du calendrier des interruptions de production planifiées des installations de pâte, et de l'accroissement de 10 %, soit 11 M$, des frais de transport.

Siège social et données financières

Au cours du quatrième trimestre, la Société a généré des entrées de trésorerie liées aux activités d'exploitation de 84 M$ et conclu la vente de ses installations de Fairmont et de Catawba pour un produit net de 333 M$. En raison de la révocation de l'ordonnance instituant des droits compensateurs sur les papiers surcalandrés, la quasi-totalité des dépôts en espèces de 61 M$ ont été remboursés, dont une tranche de 35 M$ au cours du trimestre. Après avoir effectué un remboursement de capital aux actionnaires au moyen du paiement d'un dividende de 1,50 $ par action, soit 136 M$, et avoir effectué des dépenses en immobilisations de 61 M$ et payé 15 M$ en dépôts pour droits sur le bois d'œuvre, la Société avait, à la clôture de l'exercice, enregistré une augmentation de la trésorerie, qui avait atteint 304 M$, et ses liquidités s'établissaient à 821 M$. Après la clôture de l'exercice, la Société a réduit sa dette totale, qui était de 645 M$, en rachetant pour 225 M$ de billets de premier rang. Le ratio de la dette nette par rapport au BAIIA ajusté a diminué pour s'établir à 0,6.

Des dépôts pour droits cumulés de 110 M$ ont été comptabilisés dans notre bilan, dont 103 M$ pour le bois d'œuvre résineux et 6 M$ pour les papiers non couchés à base de pâte mécanique. Les dépôts de 6 M$ pour les papiers non couchés à base de pâte mécanique, plus les intérêts, seront remboursés.

Malgré la hausse du taux d'actualisation applicable et le versement continu des cotisations aux régimes de retraite, le passif net au titre des prestations de retraite et d'avantages complémentaires de retraite inscrit au bilan avait augmenté de 182 M$ au cours du trimestre pour s'établir à 1,3 G$, ce qui est essentiellement attribuable aux rendements négatifs des marchés boursiers vers la fin de l'exercice.

Le 7 janvier 2019, Standard & Poor's Global Ratings a revu les perspectives de la Société, les faisant passer de stables à positives, et confirmé la note de BB- attribuée à sa dette à long terme.

Perspectives

M. Laflamme a poursuivi en ces termes : « Après avoir atteint des sommets historiques au premier semestre de l'exercice, les prix du bois d'œuvre sont retombés au quatrième trimestre à des niveaux non enregistrés depuis plusieurs années. Néanmoins, la conjoncture économique favorable et les baisses de production récentes chez les producteurs canadiens, y compris la Société, nous permettent de croire, tout en étant prudents, que les marchés s'amélioreront graduellement en 2019. En conséquence, nos perspectives à long terme pour le bois d'œuvre n'ont pas changé. En effet, nous croyons aux facteurs fondamentaux sous-jacents et aux possibilités de croissance de ce marché. Malgré l'affaiblissement récent des achats de la Chine, nous croyons que les facteurs fondamentaux de la pâte commerciale demeureront favorables, étant donné les ajouts de capacité limités qui surviendront à moyen terme. Pour le papier, la baisse saisonnière de la demande et le déclin structurel continu devraient donner lieu à une diminution des volumes expédiés au premier trimestre. L'amélioration de la productivité des installations de papiers tissus de Calhoun se poursuit, ce qui nous permet d'envisager un bénéfice pour le premier semestre de 2019. Nous continuons de voir avec optimisme les perspectives de croissance à long terme de nos activités de papiers tissus. »

Nomination au conseil d'administration

Le conseil d'administration de la Société a aujourd'hui nommé Mme Suzanne Blanchet en tant qu'administratrice. Mme Blanchet a passé plus de 30 ans à Cascades Inc., occupant notamment le poste de vice-présidente senior, développement corporatif, de 2014 à 2017. De 1997 à 2014, elle a été présidente et chef de la direction de Cascades Groupe Tissu. Mme Blanchet a suivi le Programme de perfectionnement des administrateurs de l'Institut des administrateurs de sociétés. Elle siège actuellement aux conseils d'administration d'Agropur, de GDI Services aux immeubles inc. (TSX) et de plusieurs sociétés non cotées en bourse.

Description des éléments hors gestion courante

Éléments hors gestion courante

2018

2017

(en millions)

Quatrième trimestre

Exercice

Quatrième trimestre

Exercice

Écart de conversion défavorable (favorable)

-

$

2

$

1

$

(9)

$

Frais de fermeture, pertes de valeur et autres charges connexes

120

121

2

82

Perte de valeur des stocks liés à des fermetures

-

(1)

-

24

Frais de démarrage

-

8

9

27

Gain net à la cession d'actifs

(141)

(145)

(13)

(15)

(Crédits) coûts hors exploitation au titre des prestations des régimes de retraite et d'avantages complémentaires de retraite

(12)

(50)

(1)

(7)

Autres charges (produits), montant net

(1)

(7)

4

3

Incidence fiscale des éléments hors gestion courante

2

20

(1)

(9)

Total

(32)

$

(52)

$

1

$

96

$

Mise en garde concernant les énoncés de nature prospective

L'information contenue dans le présent communiqué de presse et celle fournie lors de la conférence téléphonique et de la webdiffusion connexes annoncées ci-dessus qui ne sont pas des résultats publiés ou d'autres informations historiques de Produits forestiers Résolu Inc. (collectivement avec ses filiales, « nous », « notre », « nos » ou la « Société ») renferment des « énoncés de nature prospective » au sens de la Private Securities Litigation Reform Act of 1995. Ceux-ci incluent, notamment, les énoncés figurant à la rubrique « Perspectives » du présent communiqué de presse ainsi que des énoncés sur nos efforts et initiatives pour réduire nos coûts et augmenter nos ventes et nos bénéfices, sur nos perspectives d'affaires et d'exploitation, sur notre évaluation des conditions du marché, sur nos stratégies et perspectives de croissance, sur le potentiel de croissance de la Société et celui de son secteur d'activité, sur les liquidités, sur les flux de trésorerie futurs, ainsi que sur nos stratégies pour atteindre nos objectifs de manière générale. Ces énoncés de nature prospective se reconnaissent à l'utilisation de termes prospectifs comme « devrait », « pourrait », « sera », « pourra », « prévoit », « croit », « estime », « tente », « projette » ou d'autres termes ayant un sens similaire indiquant des événements éventuels ou une incidence éventuelle sur nos activités ou sur nos actionnaires.

Le lecteur est prié de prendre garde de ne pas se fier sans réserve aux énoncés prospectifs, car ils ne sont pas garants de la performance future. Ces énoncés sont fondés sur les hypothèses, les opinions et les attentes actuelles de la direction, qui sont toutes exposées à un certain nombre de risques et d'incertitudes sur le plan commercial en conséquence desquels les résultats réels pourraient différer sensiblement de ceux qu'ils contiennent. Les risques et incertitudes éventuels qui pourraient occasionner un écart considérable entre notre situation financière, nos résultats d'exploitation et notre performance futurs réels et ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans le présent communiqué de presse et déclarés lors de la conférence téléphonique et de la webdiffusion mentionnées ci-dessus concernant les résultats comprennent, mais sans s'y limiter, l'incidence de ce qui suit : le développement des médias non imprimés de même que le succès des mesures que nous prenons en réaction au développement de ces médias; la concurrence féroce dans le secteur des produits forestiers; l'incapacité d'offrir des produits certifiés conformes aux normes internationales applicables à la gestion forestière et aux chaînes de traçabilité; l'incapacité de mettre en œuvre nos stratégies visant à augmenter la rentabilité; l'échec possible de l'intégration des entreprises acquises ou l'incapacité à réaliser les avantages attendus des acquisitions, comme celles d'Atlas Paper Holdings, Inc. et de ses filiales, ou des cessions et autres opérations ou projets stratégiques, notamment les activités liées aux papiers tissus à Calhoun; l'incertitude ou l'évolution de la situation politique ou économique aux États-Unis, au Canada ou dans d'autres pays où nos produits sont vendus; la conjoncture économique mondiale; la nature hautement cyclique du secteur des produits forestiers; toute difficulté, voire l'incapacité, de nous procurer du bois ou de la fibre ligneuse à des prix avantageux; les variations du coût de l'énergie et d'autres matières premières; les risques matériels et financiers liés aux conditions météorologiques et aux changements climatiques mondiaux, régionaux et locaux; les perturbations de nos activités ou l'accroissement du coût de la main-d'œuvre par suite de conflits de travail; les difficultés liées aux relations de travail ou au maintien en poste des employés; les perturbations de notre chaîne d'approvisionnement, de nos activités ou de la livraison de nos produits; les risques liés à la cybersécurité; les risques liés à l'exploitation et à la transition des anciennes applications informatiques; la publicité négative, même si elle n'est pas fondée; les fluctuations des devises; l'augmentation du niveau des cotisations obligatoires à nos régimes de retraite, notamment en raison de l'accroissement du déficit de capitalisation; notre capacité de maintenir des ressources en capital suffisantes pour répondre à tous nos besoins en la matière, qui sont considérables; les modalités régissant l'encours de notre dette, qui pourraient restreindre nos activités actuelles et futures; les pertes qui ne sont pas couvertes par les polices d'assurance; les frais de fermeture supplémentaires et les charges supplémentaires au titre de la perte de valeur des actifs à long terme ou au titre de l'amortissement accéléré; la nécessité de comptabiliser des provisions pour moins-value additionnelles à l'égard de nos actifs d'impôts futurs comptabilisés; l'application ou le maintien desdits droits, d'exigences de dépôt en espèces, de droits de douane, de quotas ou d'autres recours commerciaux ou restrictions commerciales à nos exportations d'un pays vers l'autre; les droits compensateurs ou antidumping sur nos importations aux États-Unis de la majeure partie des produits de papier et de la quasi-totalité des produits de bois d'œuvre résineux en provenance de nos installations canadiennes; le manquement aux lois et règlements en général; les obligations additionnelles liées à l'environnement ou à la santé et la sécurité; toute violation des lois commerciales, des contrôles à l'exportation ou d'autres lois régissant nos ventes et nos activités internationales; l'aboutissement défavorable des litiges ou différends auxquels nous sommes partie; les mesures prises par les porteurs d'un pourcentage important de nos actions ordinaires; et les risques et incertitudes potentiels décrits à la rubrique 1A, intitulée « Facteurs de risque », de la première partie du rapport annuel sur formulaire 10-K de la Société pour l'exercice clos le 31 décembre 2017.

Tous les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué et ceux fournis lors de la conférence téléphonique et de la webdiffusion connexes annoncées ci-dessus sont faits expressément sous réserve des informations contenues dans les documents déposés par la Société auprès de la Securities and Exchange Commission des États-Unis et des autorités réglementaires canadiennes en matière de valeurs mobilières. La Société ne reconnaît aucune obligation de mettre à jour ces énoncés de nature prospective ou de les réviser, que ce soit à la suite de nouvelles informations ou d'événements futurs, sauf si cela est requis par la loi.

Produits forestiers Résolu en bref

Produits forestiers Résolu est un chef de file mondial de l'industrie des produits forestiers offrant une grande variété de produits, notamment de la pâte commerciale, des papiers tissus, des produits du bois, du papier journal et des papiers pour usages spéciaux, qu'elle commercialise dans près de 70 pays. La Société possède ou exploite près de 40 installations ainsi que des actifs de production d'électricité aux États-Unis et au Canada. La totalité des terrains forestiers sous la gestion de Résolu ont été certifiés conformes, par des experts indépendants, à des normes d'aménagement forestier durable reconnues mondialement. Les actions de Produits forestiers Résolu se négocient sous le symbole RFP à la Bourse de New York et à la Bourse de Toronto.

Résolu a reçu des prix de reconnaissance, à l'échelle régionale, nord-américaine et mondiale, pour son leadership en matière de responsabilité sociale et de développement durable ainsi que pour ses pratiques commerciales. Vous trouverez un complément d'information sur pfresolu.com.

SOURCE Produits forestiers Résolu Inc.

Commentaires