MONTRÉAL, le 11 mai 2018 /CNW Telbec/ - M. Jean-Hugues Lafleur, vice-président exécutif et chef de la direction financière et du risque d'Hydro-Québec, annonce aujourd'hui les résultats du premier trimestre de 2018. Le bénéfice net s'est élevé à 1 644 M$, en hausse de 101 M$ par rapport aux 1 543 M$ enregistrés à la même période de 2017.

« Le bon fonctionnement de nos installations de production et de transport nous a permis de maintenir un niveau élevé d'exportations nettes d'électricité et d'inscrire notre meilleure performance à ce jour pour un premier trimestre dans un contexte de températures normales », a affirmé M. Lafleur.

Faits saillants du trimestre

  • Marchés hors Québec 
    • Fort volume d'exportations nettes : 9,8 TWh pour 486 M$
    • Volume comparable au sommet historique de 10,1 TWh établi au 1er trimestre 
      de 2017
  • Marché du Québec 
    • Températures près des normales en 2018, comparativement à des températures légèrement plus douces que les normales en 2017
  • Investissements majeurs partout au Québec
    • Poursuite de la construction et du raccordement du complexe hydroélectrique de la Romaine
    • Progression des travaux dans le cadre du projet à 735 kV de la Chamouchouane−Bout-de-l'Île
    • Réfection d'installations de production et de transport
  • Premier financement d'importance en 2018
    • Émission d'obligations échéant en 2055, à un coût de 3,12 %
    • Montant recueilli : 596 M$

Sur les marchés hors Québec, les exportations nettes d'électricité d'Hydro-Québec Production ont augmenté de 15 M$ pour s'établir à 486 M$, en raison notamment d'une hausse des prix du marché. Grâce à la fiabilité et à la gestion optimale des équipements de production et de transport, la division a maintenu son volume d'exportation à un niveau élevé, soit à 9,8 TWh.

Les ventes d'électricité effectuées par Hydro-Québec Production auprès d'Hydro-Québec Distribution pour répondre aux besoins du marché québécois ont progressé de 52 M$ par rapport au premier trimestre de 2017. Cette hausse est principalement attribuable à un accroissement du volume des approvisionnements fournis en période de pointe, du fait que les températures avaient été légèrement plus douces l'an dernier.