MONTRÉAL, le 26 avril 2018 /CNW Telbec/ - Le gouvernement canadien a annoncé de nouvelles mesures pour lutter contre le transbordement et le détournement de métal au Canada, qui s'ajoutent à celles annoncées le 27 mars dernier. « Cette annonce vient renforcer la position du Canada en tant que juridiction sur laquelle les autres pays peuvent se fier », déclare Jean Simard, président et chef de la direction de l'Association de l'aluminium du Canada (AAC).

Dans le contexte de l'enquête sous la section 232 menée par les États-Unis et la menace d'imposition d'un tarif de 10 % sur l'aluminium canadien exporté aux États-Unis, l'alignement des règles de marquage de produits en aluminium avec les règles américaines démontre la volonté de collaboration du Canada envers les États-Unis. Selon M. Simard, « C'est une autre manifestation de l'intérêt commun que représente la gestion de la frontière commerciale continentale pour l'ensemble de l'industrie nord-américaine d'aluminium ».

« Nous saluons les efforts du gouvernement du Canada qui agit avec diligence en prenant rapidement les moyens nécessaires pour répondre aux nouvelles situations commerciales qui ébranlent l'industrie, mais également les travailleurs », ajoute M. Simard.

L'Association de l'aluminium du Canada continuera à travailler de concert avec le gouvernement fédéral pour rendre opérationnelles ces nouvelles mesures.

À propos de l'Association de l'aluminium du Canada (www.aluminium.ca/fr)
L'Association de l'aluminium du Canada (AAC) est un organisme sans but lucratif qui représente trois producteurs d'aluminium de classe mondiale au Canada - Alcoa, Alouette et Rio Tinto - qui exploitent dix usines au Canada, dont neuf au Québec, et emploient plus de 8 000 travailleurs.