MONTRÉAL, le 15 févr. 2021 /CNW Telbec/ - Quatre villes canadiennes, dont Montréal (17) et Québec (35), se retrouvent au prestigieux « Barnes city index 2021 », parmi les 50 villes les plus recherchées par les gens fortunés1. Le Québec se retrouve également au numéro 5 des 20 destinations à suivre au cours des prochaines années, selon le Barnes Global Property Handbook 2021 (BGPH). Un positionnement hautement distinctif et enviable.
Étienne Beaudry, associé chez Barnes - Québec, explique que Montréal et Québec séduisent de plus en plus d'investisseurs internationaux chaque année. « L'immobilier québécois se porte bien. Malgré une croissance constante des prix, nos grandes villes demeurent plus accessibles que beaucoup d'autres dans le monde et continuent de se développer avec une offre immobilière variée, riche et renouvelée. Nous sommes dans un marché extrêmement actif qui a résisté à la pandémie et à un contexte particulièrement difficile. L'immobilier demeure une valeur refuge, ce qui explique notamment ce dynamisme. Malgré la fulgurante progression de l'immobilier au Québec au cours des dernières années, le marché québécois demeure encore plus abordable que dans plusieurs autres grandes villes majeures. »
À titre comparatif, pour 1 million de dollars canadiens, on achète un condo d'environ 1400 pieds carrés au centre-ville de Montréal. Avec ce même million, on se procure des propriétés d'une superficie de:
- Tokyo (Japon) : 355 pi2
- Zurich (Suisse) : 384 pi2
- Paris (France) : 430 pi2
- Stockholm (Suède) : 663 pi2
- Copenhague (Danemark) : 768 pi2
- Miami (États-Unis) : 1168 pi2
Avec la COVID-19, l'étude présentée par Barnes international note qu'un engouement nouveau se manifeste pour certaines destinations à l'écart des grandes métropoles. « L'effet de la pandémie sur le marché immobilier se fait sentir par l'intérêt accru pour les propriétés à la campagne, en montagne, en bordure de cours d'eau et pour les villes à taille humaine. La priorité va maintenant à l'espace, à la qualité de vie et à l'environnement. Sur ces points, le Québec a beaucoup à offrir et il n'est donc pas étonnant qu'il se démarque à l'international », explique Étienne Beaudry.
Les banlieues résidentielles sont de plus en plus demandées depuis la pandémie de COVID-19, alors que les centres-villes voient une diminution, sans doute momentanée, de leur hausse fulgurante des dernières années. Les régions des Laurentides et des Cantons de l'Est demeurent les plus attrayantes pour l'achat de résidences secondaires.
« Notre marché immobilier présente de la diversité dans ses produits, répondant à un large spectre de besoins, en plus d'être accessible. Plusieurs personnes sont capables d'acheter une résidence secondaire à l'extérieur de la ville, ce qui n'est absolument pas envisageable dans plusieurs autres grandes villes. La qualité de vie est très bonne au Québec sur le plan de l'immobilier et il y a de quoi s'en réjouir en cette période difficile. Le marché immobilier représente un investissement sécuritaire et à long terme », poursuit Étienne Beaudry.
« On note également un attrait et une demande croissante pour Miami, un marché avec lequel nous travaillons main dans la main et qui se classe au 4e rang du top 5 des villes les plus attrayantes au monde. Avec la récente hausse du dollar canadien, le pouvoir d'achat des québécois chez notre voisin du Sud s'apprécie et notre marché peut s'en voir ravi », conclut Étienne Beaudry.
Le top 5 des villes les plus attrayantes en 2021 selon le BGPH est composé de Zurich, Copenhague, Tokyo, Miami et Stockholm. Plusieurs villes ont connu des mouvements importants en 2021 avec le contexte particulier de la pandémie. Ainsi, 7 villes ont quitté le top 10, soit New York, Los Angeles, Hong Kong, Toronto, San Francisco, Lisbonne et Madrid, alors que Montréal et Québec ont maintenu une place de choix dans le classement.