L’arvIdA
Modèle 1
La RiverBend
Modèle 2
La Baie-Comeau
Modèle 3
La Péribonka
Modèle 4
La Kénogamie
Modèle 5
L’Isle-Maligne
Modèle 6
La Chibougamau
Modèle 7
Groupe Mirage
inc.
200, rue des Pins O. suite 104,
Alma, Québec
418 668-0404
www.groupemirage.ca
RBQ: 8320-372924
Paysagiste
CERTIFIÉ
Entrepreneur
paysagiste
De gauche à droite:
Luc Tremblay, Frédéric Gilbert et Pierre Girard.
Faire du neuf
avec du vieux!
« On n’a rien inventé. Le concept existe déjà
ailleurs au Québec, on l’a simplement adapté
pour la région, » explique Stéphane Audet,
copropriétaire du Groupe Mirage. « Le con-
cept est simple, c’est comme les vieux
quartiers anglais. » L’instigateur du projet
s’était préalablement informé auprès de plu-
sieurs agents immobiliers à savoir ce que les
acheteurs recherchent lors de l’achat d’une
propriété. « Ils m’ont tous confé que les
maisons dans les vieux quartiers ne restaient
pas en vente très longtemps. Alors, on a tra-
vaillé dans ce sens », ajoute-t-il.
Alliances,
la force d’une région
Un projet d’une telle envergure ne pourrait
être réalisé sans la précieuse collaboration
de promoteurs. Le Groupe Mirage a très bien
su s’entourer d’une équipe compétente pour
offrir tous les services nécessaires aux clients.
« Nous avons choisi nos partenaires par leur
réputation. Nous voulions des gens compé-
tents et dont on était certain de la qualité du
travail et du service. » L’équipe, qui était beau-
coup plus élargie au départ, est composée de
constructeurs, d’une architecte, d’une frme
d’arpentage, d’un promoteur, d’un agent immo-
bilier et d’une entreprise de terrassement.
« Tout a été pensé, même la piste de ski de
fond qui passe présentement sur les terrains.
Chaque fois que quelqu‘un achète un terrain
dans le quartier, ils doivent signer des docu-
ments indiquant les plans de la maison ainsi
que les plans de localisation de cette dernière
concernant la hauteur, le drainage, etc. »
L’importance de se
diversifier
Il y a trois ans, les quatre actionnaires du
Groupe Mirage faisaient face à deux pro-
blèmes majeurs. Le premier étant la pénurie
de main-d’œuvre et le deuxième, la durée
de la saison estivale. « C’était diffcile parce
qu’on pouvait travailler que trois ou quatre
mois par année. De plus, il n‘y a plus de forma-
tion qui se donne en région pour ce métier. »
Pour contrer ces diffcultés, ils ont décidé de
diversifer leurs activités. L’entreprise, qui fai-
sait uniquement de l’aménagement paysagé,
s’est vue développer le marché des pièces
de béton et le développement domiciliaire.
« J’ai pensé à mon affaire pendant plusieurs
mois. Au printemps, j’ai présenté mon projet
de développement qui vient d’être accepté
par la ville. Nous sommes équipés pour faire
des pièces de béton et nous fabriquons aussi
des balustrades et des clôtures en métal
avec des montants de béton. »