100% FÉMININ - MARS 2020
I N FORME A F FA I RE S , L E MENSUE L ÉCONOM I QUE D ’ I C I MARS 2 0 2 0 | P a g e 2 9 Marlène Claveau Stéphanie Gagnon L Pour les propriétaires « ’important c’est la pas c’est de foncer d’entr cr . a question. e une femme en affair de Trium Médias sion, pas le jupon ! » une femme tous les jours. Ça ne change rien au travail on et Marlène Claveau. Si les deux complices sont fières d’être les guenay-Lac-Saint-Jean et l’un des seuls groupes féminins équence à laquelle elles doivent répondre à la question: est-ce aux femmes ce que c’est d’êtr es. Je ne fais que faire mon travail, comme hanie. Marlène et Stéphanie s’entendent également pour dire ous sommes avant tout des personnes passionnées de us croyons en la mission de notre entreprise Que l’on er est le même» , indiquent-elles. st parce qu’un problème persiste. «On ose croire que d’ici e oiser régulièrement des femmes à la tête e- ulent lancer aux femmes, . «Il ne faut pas avoir a des incitatifs, des programmes, de l’accompagnement, nsulter. Les femmes peuvent rêver grand et se donner d’être là.» adaires, un mensuel et quatre bureaux, se disent être fières d’être cédées. «Les femmes, n’ayez pas froid aux yeux, il y a de 8040501 ommes des femmes, e» , lancent les copropriét mières femmes propr a tête d’un média au lus difficile pour une «J’ai hâte au jour où Je ne pense pas à n’importe quel aut qu’être femme en affa ce que nous faison availle fort par On tr s. r T et nous vivons avec le fait d’être aires de riumMédias, Stéphanie Gagn iétaires à 100% d’un média au Sa Québec , elles sont frappées par la fr femme ? nous n’aurons plus à demander ça tant qu’on ne me pose pas l e entrepreneur» , mentionne Stép ires, ce n’est pas ce qui les définit. «N ce que no ou des femmes, le travail à réalis si cette question revient souvent, c’e es gens ne seront plus surpris d arlène Claveau et Stéphanie Gagnon ve tous les outils pour y arriver. Il y emmes en affaires qu’on peut co tre place, vous avez la légitimité tif 27 employés, trois journaux hebdom avail fait par les femmes qui les ont pré » V ur soit des hommes Stéphanie ajoute que quelques années, l prises.» il y a un message que M . Foncez! ous avez mentorat, il y a des f oyens. Prenez-la, vo ui comptent à leur effec d’un média grâce au tr , pour vous partout! Véronique Cloutier a commencé sa vie de femmes d’affaires en 2009 à titre de propriétaire et gestionnaire de DKODesign. Il s’agit d’une entreprise spécialisée en plomberie commerciale et résidentielle, mais également en rénovation. Le commerce est reconnu pour la qualité de ses produits et services, autant auprès des consommateurs, que du milieu de la construction. L’entrepreneure et son équipe de 18 professionnels, designers, plombiers et menuisiers, adorent accompagner les clients dans toutes les étapes de leurs projets de décoration ou de rénovation.Véronique Cloutier souligne que DKO offre son expertise à une clientèle régionale, mais également pour des projets institutionnels et commerciaux, notamment en plomberie, jusque dans la région de Québec. Le conjoint de la femme d’affaires est également grandement impliqué dans l’entreprise, puisque le père de ses deux enfants est responsable de la division plomberie. La relève se prépare aussi chez DKO alors qu’un des garçons étudie à l’École de technologie supérieure (ÉTS) pour devenir ingénieur, tandis que l’autre est diplômé en plomberie. Malgré son emploi du temps chargé, Véronique Cloutier trouve le temps de s’impliquer dans son milieu. Depuis deux ans elle agit comme présidente de la Corporation des femmes d’affaires du Saguenay, où elle est administratrice depuis 2012. Elle se permet aussi de donner du temps à des causes sociales comme Opération Nez rouge et le Club des petits déjeuners.
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