SAGUENAY — Fabbrica Gelato a officiellement ouvert ses portes hier (1^er juin 2017 NDLR) à l’Hôtel Chicoutimi. La gelataria devient le troisième commerce de l’établissement qui souhaite devenir un lieu d’importance en restauration dans le centre-ville de Chicoutimi.

Rencontré par InformeAffaires.com, quelques heures après l’ouverture officielle de Fabbrica, le responsable de la restauration à l’Hôtel Chicoutimi, Raphael Girard, s’est dit très satisfait de la réponse de la population. « Depuis 11 heures ce matin (hier NDLR), nous avons reçu plus de 200 personnes. Nous sommes vraiment heureux que notre concept attire les gens », mentionne-t-il.

Nouveau sur la rue Racine

L’idée d’ouvrir un troisième commerce au sous-sol de l’Hôtel Chicoutimi germait depuis un bon moment. « Le propriétaire de l’hôtel Éric Larouche et le propriétaire des restaurants Carl Huth, voulaient ouvrir quelque chose de nouveau. Le Gelato a été choisi parce qu’il n’y avait pas de bars laitiers du genre dans le secteur », précise Raphael Girard, ajoutant que leur procédé de fabrication est d’origine italienne. « Il existe plusieurs méthodes de préparation et nous avons sélectionné celle qui est la plus collée au produit. C’est donc à la manière de l’Italie que nous apprêtons nos sorbets, gelato et pâtisseries », explique le responsable de la restauration.

Créer un complexe gastronomique

Avec maintenant trois lieux gourmands, les gestionnaires de l’établissement de la rue Racine veulent créer un point central en restauration. « Le but derrière cette troisième bannière est de créer un complexe dans le haut du centre-ville. Avec l’Inter, le Rouge Burger Bar et Fabbrica, l’hôtel détient maintenant une belle visibilité », affirme Raphael Girard.

Les prochaines semaines seront consacrées à bâtir la notoriété de l’entreprise. « L’objectif à court et moyen terme est de nous faire connaître et d’offrir des produits de qualité. Nous avons la prétention d’être des marchands de bonheur et nous pensons que la clientèle le remarquera assez rapidement », conclut-il.