Informe Affaires - Édition Juin 2016 - page 14

14 • JUIN 2016 •
INFORME AFFAIRES,
Le MENSUEL
économique d’ici
ALMA – Cette année, l’entreprise
fêtera son 40e anniversaire d’exis-
tence. Ce fleuron régional qui pos-
sède un rayonnement international
travaille autant au Québec qu’aux
États-Unis. Au pays de l’Oncle Sam,
ils se sont fait un nom et une répu-
tation de leader dans leur domaine.
« Les personnes ne savent presque
pas, mais notre entreprise a réalisé
plus de 200 projets au Massachusetts
et au Connecticut, sans compter ceux
de Manhattan, dans l’État de New York.
Toutes les années, nous travaillons là-
bas ainsi qu’en Nouvelle-Angleterre.
Les États-Unis représentent plus de
50 % de notre chiffre d’affaires. Nous
ramenons des nouveaux dollars et des
dollars américains dans notre écono-
mie », a mentionné Robert Bouchard,
PDG de BPDL.
Projets en cours
Actuellement, BPDL travaille sur des
projets résidentiels et des tours à bu-
reaux à Manhattan et au Massachu-
setts sans oublier deux contrats très
importants au Québec. « Nous avons
aussi un contrat pour le pont Cham-
plain, via notre usine à Drummondville.
C’est 80 personnes qui y travaillent.
Pour l’échangeur Turcot, via notre
usine à Saint-Jean-sur-Richelieu, c’est
aussi 80 personnes qui sont affectées
à réaliser le tablier. Les deux projets
réunis ensemble, c’est 120 M$ de
contrats, mais le pont Champlain, c’est
le plus gros et méga projet de notre
histoire », a ajouté Robert Bouchard.
Avec trois usines à Alma, une à Sainte-
Marie-de-Beauce, deux à Drummond-
ville, une dans le sud de Boston et
une au Brésil, BPDL emploie 600 per-
sonnes à travers le monde. D’ailleurs,
Robert Bouchard est souvent appelé
à l’extérieur de la région chaque se-
maine.
Fierté
Avec le recul, le PDG de BPDL est
fier d’avoir réalisé à Manhattan le plus
prestigieux stade de baseball, le Yan-
kee’s Stadium, les améliorations du
complexe du Madison Square Gar-
den, là où les spectacles multidisci-
plinaires ont lieu avec une renommée
mondiale et enfin, High Line, qui est
Béton Préfabriqué du Lac (BPDL)
Le plus grand fleuron de l’économie régionale
ALMA – Fondée à Alma en 2003 par Evens Gagnon et
Diane Trépanier, Environnement Sanivac a beaucoup
grandi en un peu plus d’une décennie, devenant l’un
des intervenants majeurs dans la récupération et le re-
cyclage de matières dangereuses au Québec. Au début,
trois employés œuvraient au Saguenay–Lac-Saint-Jean
à bord de trois camions; aujourd’hui, ils sont près de 55
à utiliser pas moins d’une soixantaine d’équipements
hautement spécialisés partout au Québec; de plus, une
succursale à été ouverte à Québec.
Ces chiffres sont certes impressionnants, mais Robyn Labon-
té, qui est actionnaire-propriétaire dans la compagnie avec
son épouse Gina Beaudoin et David Côté, qui vient de se
joindre à eux, en janvier 2015, louange avant tout l’équipe
d’employés pour expliquer la réussite de son entreprise. «
Ce qui nous différencie des compétiteurs multinationaux,
ce sont des services de très haute qualité donnés par des
travailleurs parfaitement qualifiés et très motivés. Ils sont as-
sociés à l’entreprise sous forme de participation aux profits.
Il en résulte chez eux un grand sentiment d’appartenance.
« De plus,
Environnement Sanivac
fait de la formation
de ses travailleurs une priorité de tous les instants; ils
sont soumis à un programme de pas moins de 15 à 16
séances de formation. Nos normes de santé et sécurité
sont également parmi les plus élevées de l’industrie et
nous sommes fiers de posséder un des taux les plus bas
d’accidents sur les lieux de travail. »
Hydro-excavation
Fort de plus de trente années d’expérience dans le
domaine, Robyn Labonté est toujours animé par le désir
d’aider à faire de notre planète un meilleur endroit où vivre.
Pour ce faire,
Environnement Sanivac
intervient dans
de multiples domaines : fosses septiques; récupération
des huiles usagées produites dans les garages et usines;
nettoyage industriel par pompage de liquides, semi-liquides
et boues usées; débouchage et nettoyage sous pression;
déversements accidentels dans des sites de toutes sortes;
on a même développé une expertise dans le domaine
maritime et
Environnement Sanivac
vient de se doter
d’un camion de 600 000 $ permettant l’hydro-excavation. «
Rien que pour les huiles usagées
produites au Saguenay–Lac-
Saint-Jean, nous occupons 75%
du marché et nos six camions-citernes, d’une capacité de
40 000 litres, récupèrent pas moins de 5 millions de litres
par an; ces huiles sont ensuite traitées dans notre usine
d’Alma, recyclées et revendues pour fins énergétiques.
Sans notre intervention, tout cela se retrouverait dans les
sites d’enfouissement. » Robyn Labonté signale également
qu’
Environnement Sanivac
est membre de la SOGHU
(Société de gestions des huiles usagées), label reconnu par
Recyc-Québec permettant de gérer un programme intégré
de récupération et de valorisation des huiles usées tout en
se souciant de sensibilisation aux usagers.
Environnement Sanivac
compte parmi ses clients
plusieurs municipalités du Québec, Océan Canada,
Hydro-Québec Algoma, la Canadian Steamship Lines,
Transport Desgagné, Expertech, Produits forestiers Résolu
et Arbec, les concessionnaires automobiles du Saguenay-
Lac-Saint-Jean, Bell Canada et de nombreux autres.
PUBLIREPORTAGE
307R06-16
Lors de notre visite au sein de BPDL, la famille Bouchard était presque au complet, il man-
quait seulement, Christine Bouchard. En haut on retrouve Robert et Guy Bouchard. En bas
Gaétan et le fondateur de BPDL, André Bouchard.
(Photo: Jean-Luc Doumont)
par Jean-Luc Doumont
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