SAGUENAY – L’entreprise saguenéenne, STI Maintenance, a décroché un contrat de 6 M$ sur trois ans avec la Ville de Québec, où le mandat sera entre autres d’intégrer les données du Centre Vidéotron aux systèmes QMI ou encore la maintenance des usines de traitement des eaux et l’implantation des compteurs d’eau.
En entrevue exclusive à InformeAffaires.com, Claircy Proulx, PDG de STI Maintenance, a confirmé l’obtention de ce contrat. Après les villes de Montréal, Sherbrooke et Laval, l’entreprise saguenéenne se taille une place de leader auprès des municipalités du Québec.
L’objectif pour la Ville de Québec est d’avoir les services pour interagir en impartition avec le service des TI entre la ville et le partenaire dans les différents projets couverts pour intégrer de nouveaux clients et par le fait même, créer de nouveaux services pour la clientèle existante. Parmi la liste des nouvelles demandes on notera l’intégration des données du Centre Vidéotron aux systèmes QMI, l’évolution du cadenassage, la maintenance pour les usines de traitement des eaux, l’implantation des compteurs d’eau, la maintenance pour l’usine de biométhanisation ou encore la refonte des processus TI de la Ville.
En ce moment même, STI Maintenance, travaille avec la Ville de Montréal (contrat de 2,2 M$ sur quatre ans) où le travail consiste à la maintenance de l’usine de traitement des eaux, canalisation, distribution de l’eau ou encore les véhicules de la SPVM. Par ailleurs, un autre contrat est également en cours avec la Ville de Sherbrooke (contrat de 1,6 M$ sur cinq ans) pour la flotte des véhicules de la ville, l’usine de traitements des eaux et les projets hydroélectriques. Finalement, avec la Ville de Laval, STI Maintenance apporte son expertise dans le support du processus d’affaires.
Il faut savoir que tout ce travail se fait en deux volets. En premier les experts vont directement sur place pour réaliser le travail et en second, les bases de données sont traitées à distance à partir des bureaux d’Arvida.
« Nous sommes en attente pour deux autres contrats majeurs, dont un dans l’industrie lourde qui amènera à l’entreprise un contrat de 12 000 à 14 000 heures », a commenté Dominique Privé, directeur du développement des affaires.
Devant cette croissance, la PDG Claircy Proulx n’a pas caché être en recherche intensive pour quatre programmeurs-analystes (senior et junior), technicien en informatique, technicien en électricité et ingénieur en maintenance. Soulignons que STI Maintenance donnera prochainement une conférence à Montréal, en collaboration avec le journal Les Affaires, sur les arrêts planifiés.