SAGUENAY – Rompant avec une tradition qui remonte à 1993, Le Centre québécois de recherche et de développement de l’aluminium (CQRDA) a procédé, ce matin, au lancement du 52^e magazine AL¹³ de façon virtuelle, plutôt qu’en présence d’invités issus de l’industrie du métal gris, comme le CQRDA en a l’habitude. La vedette de la Une de l’édition 2020 est Gheorghe Marin, directeur général du Centre de métallurgie du Québec (CMQ) qui fête ses 35 ans cette année.

L’équipe de rédaction du magazine AL¹³ s’est entretenue également avec madame Marie-France Charbonneau et monsieur Marc-André Blanchard, respectivement directrice générale du Comité sectoriel de main-d’œuvre de la métallurgie du Québec (CSMO-M) et coordonnateur à la formation. Tous deux font le point, sur les principaux enjeux reliés aux défis de main-d’œuvre dans l’industrie métallurgique.

Puisque l’aluminium est le point d’intérêt commun du CQRDA et du CMQ, leurs dirigeants ont décidé de préparer conjointement un événement d’envergure où il était possible de souligner le 35e anniversaire du CMQ avec des ateliers et des conférences tout en conciliant le lancement du magazine AL¹³. Plus de 200 participants étaient d’ailleurs virtuellement présents.

À propos du CQRDA

Inauguré en 1993, le CQRDA contribue à accroître les retombées économiques en soutenant activement le maillage entre les établissements d’enseignement (incluant, entre autres, les centres de recherche et les CCTT) et les PME, de même qu’entre les entreprises reliées à la production et à la transformation de l’aluminium par l’entremise de ses activités de liaison, de veille et de RD afin de réaliser un transfert efficace des connaissances, des savoir-faire et des nouvelles technologies.

À propos du magazine AL¹³

Grâce à son vaste réseau de contacts et de collaborateurs, répartis dans les différentes branches de l’industrie canadienne et mondiale de l’aluminium, le site Web d’Al13, avec l’appui de son édition imprimée, est une source d’information fiable et recherchée, un indicatif de tendance. Ce projet a été rendu possible en partie grâce au gouvernement du Canada.