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Frédérica Fortin-Foster

SAINT-FÉLICIEN – Le Zoo sauvage de Saint-Félicien a connu une légère hausse de l’achalandage l’année dernière selon un récent bilan. Le nombre de visiteurs est passés de 146 381 en 2022 à 150 098 en 2023. Les chiffres enregistrés n’atteignent tout de même pas ceux d’avant la pandémie.

« Cette affluence variée, en provenance d'une cinquantaine de pays, témoigne de l'attrait mondial du Zoo sauvage. Sur le plan financier, l'année précédente s'est terminée par un léger excédent des recettes sur les dépenses, s'élevant à 27 241 $ », déclare Sylvie Prescott, présidente du conseil d’administration.

De nouvelle expériences ont été proposées aux visiteurs du Zoo sauvage de Saint-Félicien permettant d’assurer une pérennité au parc. L’année 2023 a été remplis de défis pour le Zoo qui a dû composer avec des conditions climatiques imprévisibles tout en devant assurer sa santé financière.

« Nos équipes ont été mises à rude épreuve ! Elles ont fait preuve d’une résilience remarquable, gérant avec succès et sans relâche les épisodes successifs de fortes pluies ou de canicules. Ces bouleversements ont eu comme conséquence de mettre nos installations sous forte pression », assure Lauraine Gagnon, directrice générale du Zoo sauvage de Saint-Félicien.

50 bougies

Le Parc des sentiers de la nature a célébré son 50e anniversaire l'année dernière en proposant au public des activités originales de type VIP. Des balades exclusives et des repas à la ferme du colon ont été organisés autour de cet événement. Certains clients ont même eu le privilège d'occuper le siège avant du train de promenade en compagnie du conducteur de train.

« Ce fut un énorme succès ! Nous souhaitions avec ses diverses activités valoriser le patrimoine historique et accroître la qualité de l'expérience-client. Après 50 années couronnées de succès, le train de promenade est toujours très apprécié par notre clientèle, elle continue de se définir comme une offre d’avant-garde sur le thème de la protection de la faune et de la flore boréale », précise Lauraine Gagnon.

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