SAGUENAY – Une succursale de la chaîne de boutiques pour animaux Chico ouvrira ses portes au Centre Jonquière d’ici la fin de l’année. Elle sera opérée par les mêmes franchisés que la boutique d’Alma.
« Jonquière était dans notre mire depuis le lancement de notre commerce à Alma, à condition que le développement de cette première boutique se passe bien. Jusqu’à maintenant, la réception des clients est très intéressante, c’est pourquoi nous allons de l’avant avec le projet », indique Marc Lebrun, associé avec son fils Christopher dans les franchises Chico régionales.
Le développement du nouveau commerce commencera en septembre et l’ouverture devrait avoir lieu en décembre, s’il n’y a pas de retards. Il était impossible pour l’instant de chiffrer l’investissement nécessaire puisque certains détails restaient encore à planifier. « C’est un local qui était occupé par une banque, donc c’est certain qu’il y a beaucoup de changements à faire », précise M. Lebrun.
Création d’emplois
L’arrivée de la boutique pour animaux devrait créer une dizaine d’emplois. Le magasin sera plus gros que celui d’Alma. Il occupera près du double de la superficie, soit 4 000 pieds carrés. « Il y a plus de population à Jonquière. Nous prévoyons donc utiliser un espace d’entrepôt plus grand afin d’avoir des quantités plus importantes de nos produits », mentionne le franchisé.
L’inventaire des magasins d’Alma et de Jonquière devrait se ressembler, toutefois les propriétaires se permettent de s’ajuster selon la demande. Rappelons que les boutiques Chico se spécialisent dans la nourriture pour chiens et chats. Elles ont également comme spécialité les petits rongeurs, oiseaux et poissons, pour lesquels elles offrent un vaste choix d’accessoires et de nourriture.
En plus des succursales d’Alma et Jonquière, Marc Lebrun est également propriétaire de franchises Chico à Saint-Eustache. Lorsque le territoire du Saguenay–Lac-Saint-Jean a été rendu disponible, son fils et lui ont saisi l’occasion. « Christopher est un adepte de la région. Ça faisait longtemps qu’il voulait venir s’y établir. C’est donc lui qui est sur le plancher au quotidien. Moi, je m’occupe de la gestion en arrière », révèle-t-il.
