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Maxime Hébert-Lévesque

SAINT-BRUNO – L’entreprise de débosselage PMGL est actuellement en croissance. Son propriétaire, Pier-Marc Guay Lévesque, vient d’investir 400 000 $ dans l’acquisition d’un bâtiment à Saint-Bruno. L’entrepreneur déménage ses installations de Saint-Gédéon afin de se rapprocher de sa clientèle et de bénéficier d’un plus grand espace de travail.

« À Saint-Gédéon, je n’étais pas propriétaire. Le bâtiment en location a été utile pour un temps, mais nous avions saturé depuis un moment. En effet, les contrats rentraient et je cherchais de l’espace pour travailler sur les différentes voitures et véhicules récréatifs », explique M. Guay Lévesque.

Ouvert depuis 2015, l’entreprise jeannoise spécialisée dans le débosselage de véhicules en tout genre s’est vite fait un nom. « Il y a quelques années, un contact m’avait proposé de racheter son garage de Saint-Bruno. À l’époque, j’avais décliné l’offre jugeant cet investissement prématuré. Aujourd’hui, la croissance naturelle de mon entreprise me pousse à acquérir plus gros. »

Se positionner au centre de l’action

Maintenant situé au 561 du 6e rang Ouest à Saint-Bruno, Pier-Marc Guay Lévesque compte ainsi rejoindre son marché plus facilement. « C’était un enjeu pour nous d’être loin de la ville. Ce qui est bien avec le nouvel emplacement, c’est que nous sommes près des concessionnaires automobiles de l’avenue du Pont et d’autres commerces du genre comme le Sport DRC. Se placer à la lisière de la municipalité d’Alma va certainement nous être profitable. »

Embaucher et diversifier son offre

Toujours en déménagement, l’entrepreneur a toutefois relancé ses opérations depuis peu. D’ailleurs, il prévoit quelques ajustements au cours des prochaines semaines afin de mettre les installations à sa main. « Nous passons de 1500 pi2 à 3000 pi2 pour l’espace garage en plus d’avoir un bureau fermé et un coin d’entreposage. De plus, la hauteur de la bâtisse nous permet de travailler sur des camions et des véhicules lourds. Des contrats qu’autrefois nous ne prenions pratiquement pas à cause du manque d’espace », conclut le débosseleur qui précise que l’embauche de deux à trois employés sera nécessaire dans les prochaines semaines pour répondre à cette croissance.

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