SAGUENAY – Rio Tinto a été sélectionnée parmi les 100 meilleurs employeurs au pays dans un classement de Mediacorp Canada publié dans le Globe and Mail le 13 novembre. C’est la troisième année consécutive au sein de ce classement pour la multinationale.

Les rédacteurs de Mediacorp se basent sur huit critères pour réaliser leur liste, soit le lieu de travail physique, l’atmosphère de travail et les activités sociales, la santé, les avantages financiers et familiaux; les vacances et congés; la communication avec les employés; la gestion des performances, la formation et le développement des compétences et la participation de la communauté.

Rio Tinto, qui compte plus de 10 500 employés au Canada, dont plus de 4 000 au Saguenay–Lac-Saint-Jean, s’est démarquée dans plusieurs sphères. Notamment, elle verse 10 millions $ par année pour soutenir des initiatives liées aux Premières nations, à l'éducation, à la santé et au bien-être, à la réduction de la pauvreté, à l'environnement et aux communautés par le biais du Fonds Rio Tinto Aluminium Canada. Des contributions financières supplémentaires de 10 millions $ US ont aussi été faites à l’échelle de l’Amérique du Nord en 2020, en plus dons en nature incluant des équipements de protection individuelle afin de soutenir des initiatives locales visant à atténuer les impacts de la pandémie sur les communautés et à stimuler la relance économique.

Par ailleurs, Rio Tinto aide ses employées qui sont de nouvelles mères en leur versant un complément de salaire pour leur congé de maternité pouvant aller jusqu'à 100 % du salaire pendant 18 semaines. L'entreprise offre également un complément de salaire pour les parents adoptifs (jusqu'à 100 % du salaire pendant 18 semaines). La multinationale accorde aussi trois semaines de congés payés à ses nouveaux employés et tient compte de l'expérience professionnelle antérieure pour déterminer les droits aux vacances des candidats expérimentés.

L’équipe de direction de Rio Tinto Aluminium a également atteint la parité et l'entreprise a pour objectif d'augmenter de deux pour cent par an le nombre de femmes occupant des postes de cadres supérieurs et de faire en sorte que 50 % des diplômés embauchés soient des femmes.